lunedì 12 maggio 2014

"Le Parfum du Nord" quaderno di Sighanda pubblicato nella rivista "Bouts du Monde" carnets de voyageurs

Di Matteo Genini: Le Parfum du Nord : que est-ce un voyage ? Le soir du 22 mai 1935 il sorta du cercle Coecilia, dans le quel il y demeura deux heures d'horloge sans parler à personnes, perdu dans ses rêves, et il se renda comme d'habitude au café anglais, le Falstaff, fameux par son Schotch. Le commandant Van de Sande et trois cadets de l'équipage du voilier Mercator goutaient dans une pinte de bière les souvenirs de leur voyage vers l'ile de Pâques. Il décrivaient des sculptures en pierre dont les visages semblaient masqués de mystère et l'un d'entre eux questionnait les camarades sur la signification de ces figures solitaires sur cette île inhospitalière. Entre temps un type grand, la peau pâle, l'oeil incisif, le moustache au vent et qui portait un petit chapeau, un carrick et un réseau d'habitudes qui le protégeait, s'était assis au fond du café. Il ordonna son schotch et crayon à la main se mis à tracer des signes rapides dans un carnet aux pages ivoire tandis que d'une voix monotone s'accompagnait déclamant ad libitum: « Fuir ! La-bas, fuir ! Je sens que des oiseaux sont ivres d'être parmi l'écume inconnue et les cieux ». « Qui est ce type ? » demandait Van de Sande cueillant une pinte offerte par la femme du café. « Pietje de dood, il l'appellent ainsi, Pierrot de la mort , monsieur». Le Capitan regarda son dessein qui esquissa assez de près les trait des Moai du Pacifique et questionna enfin ce type svelte et pâle « vous y étiez vous aussi, sûr l'ile, monsieur ? Et l'autre : « Avez-Vous jamais rencontré une sirène commandant ?» et puis de conclure en guise de réponse « j'ai passé mon enfance entouré des splendeurs des coquilles nacrées aux milles reflets striés et de squelettes bizarres de monstres marins ; ici la mer, vous savez, opère un reflux de choses lointaines, écouter une coquille sur la plage d'Ostende équivaut enfin a larguer les amarres » Du 3 octobre 1934 au 21 mai 1935 le commandant Van de Sande et son équipage firent un voyage dont le point de destination fut l’île de Pâques. A bord du navire appelé Mercator ils visitèrent également l’île Pitcairn, Tahiti, Papeete, les îles Marquises et Honolulu. Ce même navire repatria en 1936 le corps du Père Damien, missionnaire dans le Pacifique qui fut reconnu par Ghandi comme un héros pour avoir vécu jusqu'à sa mort parmi les lépreux sur l'ile Molokai dans l'archipel des Hawaï. Le Mercator est un trois-mâts barquentin de 58 mètres amarré a Ostende, construit en 1931 par un chantier écossais, son nom est dédié au géographe Gerhard Mercator qui en 1569 conçut la première projection cartographique du globe et qui donna le nom « Atlas » a une collection de cartes qui détaillaient la partie alors connue de la planète. Pietje de dood était le surnom de James Ensor, précurseur de l'expressionnisme, génie absolu et longtemps incompris de la peinture mondiale dont la vie fut caractérisée par une régularité qui effleurait la monotonie. Il a vécu pendant tout sa vie, sauf des rares déplacement , a Ostende. Parmi ses œuvres les plus connues figurent une série de masques peintes avec des couleurs vivaces qui rappellent à la fois la joie éphémère du carnaval et le destin des mortels. L'expression poétique récité par Ensor est une citation d'un écrit de Mallarmé, Brise marine. On n'est pas a connaissance d'une rencontre effective entre Ensor et Van de Sande, l'écrit qu'on vous propose s'agit donc d'une hypothèse de rencontre entre façons opposées de concevoir un voyage.

giovedì 27 marzo 2014

L'Arca delle Meraviglie





L'arca delle meraviglie, meglio conosciuta come "società storica catanese", è in realtà un palazzo che si affaccia sulla centralissima Via Etnea.
Un palazzo che da residenza divenne sede universitaria, ma anche casa editrice, ed poco gli manca per diventare un museo. Al suo interno racchiude, contiene, protegge una miriade di oggetti che raccontano "chi eravamo"

domenica 2 marzo 2014

L'arca delle meraviglie

Incontro di disegno su diario grafico al “Museo – Società Storica Catanese” Catania – 01/03/2014

(Armando Viana Martins)


















“L’arca delle meraviglie”
incontro di disegno su diario grafico al “Museo – Società Storica Catanese” Catania 01/03/2014

La casa Passatoia, tra scorci e cimeli nella penombra 
(Fabrizio Foti)